in ,

Congo-Brazzaville : les services de sécurité déjouent un coup d’État spatial

Congo-Brazzaville : les services de sécurité déjouent un coup d'État spatial
Congo-Brazzaville : les services de sécurité déjouent un coup d'État spatial

Au Congo-Brazzaville, l’agence spatiale nationale voulait proposer à son excellence le président Denis Sassou-Nguesso de prendre place à bord d’une fusée vers la planète Mars. Selon les premiers éléments de l’enquête, la fusée était programmée pour ne pas revenir sur terre.

C’est une bête histoire de propagande qui a failli virer au drame. Devant les caméras du monde entier, le président de la république en personne devait prendre place à bord du Nguesso001 [Nguesso zero zero one, NDLR], la toute première fusée congolaise pour une virée dans l’espace.

Les enquêtes en cours révèlent que la fusée était sabotée pour ne pas revenir sur terre. Le président se serait donc retrouvé bloqué sur la planète rouge, laissant son pays dans le désarroi.

Les principaux suspects dans cette affaire se défendent de toute mauvaise intention. « Nous n’en voulons pas du tout à la vie du guide », se défend l’un des généraux mis en cause dans l’affaire.

« Tout ce que nous voulions c’était de faire de notre chef le premier président au monde à effectuer un voyage présidentiel sur une autre planète », conclut-il.

Les enquêtes se poursuivent pour faire toute la lumière sur cette affaire.

Mado Kabongo

Correspondante de State Afrique en Afrique Centrale. Diplômée de l'Institut Facultaire des Sciences de l'Information et de la Communication (IFASIC) de Kinshasa, informer est une passion depuis mon enfance. Je cultive une vraie passion pour la politique africaine.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Mali : manifestations de soutien au déménagement de l'Algérie

Mali : manifestations de soutien au déménagement de l’Algérie

Dieu serait africain et Satan un occidental, selon une étude

Dieu serait africain et Satan un occidental, selon une étude