Décision de la commission bonne vie et mœurs de l’Union Africaine (UA) qui estime que l’ancien président français n’a pas respecté les traditions africaines en entretenant une relation extraconjugale secrète, plutôt que de prendre officiellement Julie Gayet comme deuxième femme.
Ces sanctions devaient être prononcées beaucoup plus tôt, mais les lourdeurs administratives au sein de l’institution panafricaine ont retardé l’annonce qui tombe alors que François Hollande a cédé sa place à Emmanuel Macron.
Pour Peter Ngoloubaraka, président de la commission bonne vie et mœurs de l’UA, cette décision se justifie par un non respect des traditions africaines de la part de François Hollande.
« Tout le monde a appris avec stupéfaction que le président français entretenait une relation extraconjugale avec l’actrice Julie Gayet. Il a même été vu en scooter, rejoindre sa concubine dans un hôtel. Cela est une faute grave qui n’honore guère la fonction présidentielle », estime le diplomate.
Selon lui, François Hollande aurait dû tout simplement informer Valérie Trierweiler de sa volonté de prendre une deuxième épouse. « Il y a suffisamment de place à l’Élysée pour au moins dix épouses, pourquoi s’en priver et dépenser de l’argent avec des hôtels ? » interroge Peter Ngoloubaraka.